Né à Blois en 1968, Emmanuel Damon vit à Paris.
Édités aux Cahiers Bleus et à L’Harmattan (Patience de la foudre, 2004, et Les armes neuves, la faim, 2008), ses poèmes ont été publiés dans une quarantaine de revues en France, en Europe (Belgique et Suisse) et au Japon. Un texte d’hommage à Édouard Glissant est paru en 2012 dans la revue Les Temps Modernes.
Fruits d’un travail maintes fois partagé avec le peintre Hubert Damon, ses textes ont fait l’objet de divers ouvrages alliant poèmes et tableaux, en particulier La Bonne Nouvelle, La lumière en ses jardins, Mers, ainsi que d’un livre, Jubilation, paru aux Éditions du Cerf en 2010.
Deux créations musicales ont été conçues et créées à Paris, en collaboration avec le compositeur Éric Fischer : Puis ce fut la mer, opus en triptyque pour voix, viole de gambe et ensemble instrumental, et La Bonne Nouvelle, pour récitant, clarinette, cor et trio à cordes.
Son oeuvre, d’un lyrisme intense, garde l’empreinte d’une enfance passée
au contact intime de la nature. Parmi ses publications récentes on lira
de lui, chez Al Manar, Le pain, l’orage, Au seuil d’un règne de vin noir,
À mon père, Souci de mon souci d'aurore, Tes lèvres rient de cet or dans ton nom, Corps silence...