Description
Ces drôles d’historiettes où se croisent belles et beaux, dans leur fragile équilibre et le ratage quotidien, dessinent un dédale, au travers et autour d’une cité qui fut belle entre les belles. Et ne l’est plus. On l’appellera Alger. Quant à ce scribe, dans l’effacement du miroir et la brisure, qui dira qu’il fut, est ou sera beau ? Et est-ce toi, lectrice ou lecteur, qui le condamneras ? Mais si sa laideur a quelque charme… qui lui ouvrira son cœur ? Il est vrai qu’aimer n’est rien, il faut être aimé, car rien n’est hors la noce de deux désirs. Et réciproquement.
Ce récit n’est qu’un hymne désastreux à la beauté, à la bouffonne défaite du cupide Amour. A. B
« Mon enracinement dans cette mémoire plurielle d’Algérie est ma véritable patrie, et ce passé-là, apparemment oblitéré par l’exil, reste vivace.»
La critique
HATIKVA, Rennes, n° 40, mai 2010
Joël Glaziou, Harfang n° 37, novembre 2010
Georges Guitton